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Rien que la première image met sur le cul. Tous ces chats dans la même pièce...

En imaginant y être, en s'accroupissant pour faire attention à l'un d'eux, comme on pourrait le faire habituellement avec un chat, on se rendrait vite compte qu'on ne peut matériellement pas donner de l'attention aux 130 chats de la même manière.

Dans "les oiseaux" il y a trop d'oiseaux, on ne sait plus contre lequel se défendre. Là il y a trop de chats, on ne sait plus auquel donner de l'attention.

Quel dilemme. Tous ces chats et tellement peu de temps pour s'occuper d'eux. Même faire le plus rationnel des choix (n'en choisir que quelques uns pour s'en occuper) est une souffrance vis à vis des autres que l'on laisse. C'est trop dur : une vraie souffrance mentale.

Ca pose la question philosophique du chat : mieux vaut-il s'occuper bien d'un seul chat en particulier ou s'occuper assez de plein de chats en même temps ?

Le chat étant une bestiole assez indépendante, on pourrait lui poser la question : "tu préfères quoi, toi?"

Il donnerait une réponse clairement intelligible et en posant la même question à plein de chats on pourrait établir une statistique et arriver à la réponse à la question :

"ce qu'a fait cette femme, est-ce bien ou mal du point de vue des chat ?"

Ce qui nous donnerait la voie vers

"ce qu'a fait cette femme, est-ce bien ou mal du point de vue des humains ?"

On enchainerait par "ce qu'a fait cette femme, est-ce bien ou mal dans l'absolu ?"

Et l'on pourrait conclure par "Cette femme est-elle folle ?"