Je suis entièrement d'accord avec toi.
sarg 29/11 à 13:01
Repondre a ce message...

La violence dans le film est d'ailleurs toute relative et finalement, en un sens, "logique". Ces deux artistes s'imposent une telle violence (psychique ou physique) dans l'expression de leur art. La discution autour des colombes (j'essaye d'éviter le spoile) est représentative de la problématique du film: jusqu'où est-on prêt à aller pour l'art?

La twist final, en définitive, ne fait qu'entériner le choix fait par ces deux là: l'Art n'est pas une vocation mais un sacerdosse.

Entre parenthèse, la richesse de ce film est aussi dans le fait qu'il est lisible à plusieurs niveaux de lecture: la simple histoire (mystérieuse et à tiroir), l'esthétique (costumes, travail de l'image...) et l'interrogation philosophique sur l'art.
écrans larges