Yep
Kendrel 28/11 à 10:35
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Et pourtant comme dit plus haut, j'ai trouvé le Prestige inutilement violent.

L'illusioniste se passe à Vienne vers 1910, c'est sympa mais bien moins romantique et steampunkien que le XIX° magique du Prestige.
Globalement, l'illusioniste manque aussi de rythme, pour ne pas dire carrément dire qu'on se fait un peu chier. L'histoire, à moins d'avoir manquer un élément, m'a semblé beaucoup plus simpliste: juste une histoire d'amour et un twist à la fin.
Dans l'un tu as Bowie, dans l'autre Edward Norton... niveau charisme pas la peine d'en dire plus ;)

(attention SPOILERS à partir d'ici)

À noter par contre que les "effets surnaturels" montrer dans l'Illusioniste étaient réellement utilisé à l'époque, au théatre: on se servait d'une immense glace entre la scène et le publique, ainsi que d'un jeu de mirroir, pour projeter l'image de comédiens cachés au milieu des autres, le public avait alors l'impression de voir des fantômes immatériels.
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