| nom réel : | Johanna |
| genre : | Féminin |
| date de naissance : | 00-00-1980 |
| Localisation : | Seine Saint Denis |
| site web : | http://www.myspace.com/nimmah |
| aime : | la vie ... la mort ... l'art ... Mes espiégles et adorables furets, Lofna et Freya !!! (ce n'est pas des putois ...) Mon baby Cthulhu (le compagnon de mes nuits) !!! |
| n'aime pas : | la stupidité humaine et l'hypocrisie (Mon dieu ! quelle est grande ... !!!) les gens imbu de leur personne (je sais tous, j'ai tous vu...)et qui juge les autres sans rien connaître de leur vie... |
| Groupes préférés : | The Cure, Indochine, Bauhaus, Sister of Mercy, Ataraxia, Elend, XVII ème vie, Die Form, L'Ame Immortelle, Joy Division, Magma, Lacrimosa, Christian Death, Dead Can Death, Clan of Xymox, Lacuna Coil, Sopor Aeternus, Athamay, Eros Necropsique, Nick Cave, Rajna, Björk, Eurythmics, Marilyn Manson, Rammstein, Hole, Nirvana, Him, Nightwitch, .............. |
| Remarques : | Thanatopracteur diplomé d'état... Créatrice de cercueils miniatures et autres objets (grimoire...) On dit qu'il faut couler les exécrables choses Dans le puits de l'oubli et au sépulchre encloses, Et que par les escrits le mal resuscité Infectera les moeurs de la postérité ; Mais le vice n'a point pour mère la science, Et la vertu n'est pas la fille de l'ignorance. Théodore Agrippa D'Aubigné "les tragiques" - livre II Mon berceau s'adossait à la bibliothèque, Babel sombre, où roman, science, fabliau, tout, la cendre latine et la poussière grecque, Se mêlaient. J'étais haut comme un in-folio. Deux voix me parlaient. L'une, insidieuse et ferme Disait : " La Terre est un gâteau plein de douceur ; Je puis ( et ton plaisir serait alors sans terme ! ) Te faire un appetit d'une égale grosseur. " Et l'autre : " Viens ! oh ! viens voyager dans les rêves, Au delà du possible, au delà du connu ! " Et celle-là chantait comme le vent des grèves, Fantôme vagissant, on ne sait d'où venu, Qui caresse l'oreille et cependant l'effraie. Je te répondis: " Oui ! douce voix ! " C'est alors Que date ce qu'on peut, hélas ! nommer ma plaie Et ma fatalité. Derrière les décors De l'existence immense, au plus noir de l'abîme, Je vois distinctement des mondes singuliers, Et, de ma clairvoyance extatique victime, Je traîne des serpents qui mordent mes souliers. Et c'est depuis ce temps que, pareil aux prophètes, J'aime si tendrement le désert et la mer ; Que je ris dans les deuils et pleure dans les fêtes, Et trouve un goût suave au vin les plus amer ; Que je prends très-souvent les faits pour des mensonges, Et que, les yeux au ciel, je tombe dans des trous. Mais la voix me console et dit : " Garde tes songes ; Les sages n'en ont pas d'aussi beaux que les fous ! " Charles Baudelaire "la voix" - les fleurs du mal PHINX Insane !!! à ta mémoire... |